un coup de vent

évidemment, elle était trempée des embruns, la peau hâlée, une robe passée à la hâte, les cheveux à peine retenus par un chapeau à larges bords.

Entourée de marins, qu'elle laissa à l'entrée. Chercha du regard un garde, en marmonnant qu'ils se ressemblent tous. En trouva un pas trop grand....

Bonjorn

je suis Harpège, Amirale de France.

je viens visiter le quartier maritime, en attendant que soit nommé un vice amiral qui me remplacera.

Adishatz Amirale. Il l'a salua juste du regard. En fait, il savait pas comment on devait saluer un Amiral, et puis il s'en foutait aussi. Parce que l'autre, elle ne l'avait guère salué aussi.

Si vous voulez bien attendre, je vais chercher le Capitaine.

Et il laissa l'Amirale l'a où il l'avait trouvée. Et voila, à nouveau la mise en place de l'acceuil "froid". Faire patienter le venant, seul.

[Retour du Garde avec le Capitaine]

Quelques instants plus tard un duo s'approcha de l'Amirale.

Adishatz.
Je suis le Capitaine. Warthe. Il sourit. Mais pas trop non plus. Il était gêné. Etrange que l'Amirale vienne les voir alors qu'ils ont toujours fonctionnés par missives...

Bienvenue en Gascogne.
Si vous voulez bien me suivre Amirale. Nous serons mieux autour d'une table plutôt qu'ici.

Et cette fois, ce fut le Garde qui resterait seul.

[HRP : suivre le lien placé dans "une table". Je savais pas où le mettre sinon^^]

Elle faisait face au garde muet et imperturbable, patientant sagement, lorsqu'un homme galonné la salua brièvement. Comme s'il était chez lui …. pis flûte si elle 'avait pas vu hein, z'ont qu'à mieux éclairer dans le coin. Rapidement, elle compta les galons, ce qu'il portait sur les épaules ressemblait à ce qu'arborait Thib. à l'époque où jeune et enthousiaste elle s'était attelée, en vain il faut l'avouer à la tâche épouvantable consistant à comprendre la subtilité des grades. En face d'elle donc, le Maistre de camp sans doute….

Mais elle n'eût pas le temps de répondre que déjà il était reparti.

Pour revenir avec un autre Galonné. Flûte ils le font exprès, pas possible que ça se sache à ce point qu'elle est infichue de faire la différence entre un sergent et un lieutenant…. Re-comptage de galons et soupir exaspéré.

Présentations.
Ah celui-là elle le connait, ils ont correspondu. Sourire, parce qu'il n'a pas l'air heureux de la voir. Bon, ça ne pourra pas être pire que l'Artois.

bonjorn Capitaine,

Ravie de vous voir, je vous suis. déjà il s'éloignait. Harpège allongea le pas pour ne pas se laisser distancer. C'est ça le problème avec les militaires…. ils marchent bien trop vite.